• Les gens heureux lisent et boivent du café de Agnès Martin-Lugand

    Les gens heureux lisent et boivent du café de Agnès Martin-Lugand

    L’histoire :

    « Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. [.] J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux. » Diane a perdu brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son cour, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. C'est peut-être en foulant la terre d'Irlande, où elle s'exile, qu'elle apercevra la lumière au bout du tunnel. L'histoire de Diane nous fait passer par toutes les émotions. Impossible de rester insensible au parcours tantôt dramatique, tantôt drôle de cette jeune femme à qui la vie a tout donné puis tout repris, et qui n'a d'autre choix que de faire avec.

     

    Mon avis :

    Cette auteure m’interpelle depuis quelques temps. J’ai enfin franchis le pas en la découvrant par ce roman. J’avoue que le contexte (pertes familiales) n’est pas le genre de contexte qui m’attire de premier abord car je m’identifie toujours trop aux douleurs des personnages. Mais l’épaisseur fine du roman m’a décidée. Et j’ai bien fait.

    Aucun doute sur la douleur du personnage, mais ce n’est pas tant cela qui transparait. L’auteur décrit parfaitement ce sentiment d’abandon, de voguer dans un autre monde, de planer au-dessus de la réalité tellement la douleur est forte. L’histoire montre comment la jeune femme reprend peu à peu les rênes de sa vie. Et j’ai vraiment aimé la philosophie de ce livre. Bousculer ne sert à rien, il faut laisser chacun faire son deuil à sa manière. Et à chacun de découvrir sa voie.

    Agnès Martin-Lugand a une plume douce, simple et entraînante. J’ai bien été incapable de lâcher ce livre. Je me suis vraiment laissée bercée par l’histoire de l’héroïne, ses peurs, sa perdition, ses doutes, sa peine, sa colère.

    Une histoire touchante, émouvante, sans mélodrame, qui vous conte combien le chemin de la vie peut être compliqué, trouver ses clés pour dépasser les drames et difficultés , mais croire que c’est possible.

     

    Un petit bijou de bien-être et confiance en soi et la vie à découvrir

     

    Bonne soirée à tous

    Kaya

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  • Retrouvez moi sur :

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  • Pour une lecture plus aisée avec le respect de ma typographie, j'ai choisi de vous partager ce récit via des fichiers pdf. 

    Vous pouvez lire le texte brut sur Wattpad. Mais la mise en page est (à mon sens) plus sympathique via ce format pdf

    Télécharger « Chapitre 12 - Éden – Soirée club avec ses amis.pdf »

     

     Nota2 : les phrases en italique représente la conscience et l’inconscience volontaire du personnage. Genre : le petit ange et le petit démon qui se chamaillent sur les épaules de leur propriétaire.

     

    N'hésitez pas à me contacter en cas de difficultés pour lire ce fichier. 

    Et bien sûr j'attend vos avis en commentaires sur mon blog ou ma page FB ou messages privés sur FB.

    Bonne lecture et bonne soirée

    Kaya

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  • UN PEU, BEAUCOUP, À LA FOLIE ! de ROSE ROMANE

    UN PEU, BEAUCOUP, À LA FOLIE ! de ROSE ROMANE

     

    L’histoire :

    En s’installant à Harrington pour remplacer l’institutrice de la petite ville, Bea ne s’attendait pas à un accueil en grande pompe ; mais, entre le tapis rouge et la franche hostilité, il y a un juste milieu, tout de même. Certes, elle est la fille du richissime homme d’affaires Sean Newel, qui menace de racheter la chocolaterie qui fait vivre la ville, mais sa venue n’a rien à voir avec ces histoires d’acquisition. Elle a bien essayé de l’expliquer à Tomas Harper, le jeune maire, mais ce dernier s’obstine à la traiter avec mépris et froideur. Tomas Harper… Un homme aussi séduisant qu’odieux et désagréable. Encore un qui la prend pour une petite héritière stupide et insouciante. Mais peu importe : à lui aussi, elle va prouver qu’elle n’est pas celle qu’il pense !

     

    Mon avis :

    Ce livre est rapide à lire (251 pages) et un bon divertissement.

    Tout d’abord l’écriture de l’auteure : simple et fluide. Ça parait idiot écrit comme ça, mais c’est ce qui m’a charmé avant tout dans ce livre. Aucune vulgarité, des phrases simples tout en étant riche de vocabulaires (pas du basique d’une personne sans vocabulaire), une fluidité de lecture vraiment agréable. Cette plume est une découverte que je compte suivre.

    L’histoire au début m’a un peu désabusée. Le côté « petite fille riche » qui tourne le dos à papa est un sujet édulcoré et qui est souvent loin de ce que j’aime. Hors on se laisse entrainer. Pourquoi ? Parce que cette nana est d’une naïveté plus touchante qu’agaçante. Elle est loin d’être une écervelée sans caractère. Et la curiosité de voir comment cette fille habituée à son confort et à être servie, va bien pouvoir s’en sortir en tant qu’institutrice au milieu d’un tas de marmot. Et c’est drôle ! Elle ne s’en laisse pas conter. Ces actions et réactions sont assez détonantes, surprenantes et déstabilisantes. Quelle instit laisserait une classe peindre les murs de la salle de réunion de la mairie ? Béa le fait et s’en tire par un revers de médaille pour les parents qui a tout son sens. Quelques parts l’auteure traite un peu le sujet de ces parents qui s’en remettent à l’éducation nationale pour donner des limites à leurs gosses. Chacun est remis à sa place, et ça fait de mal à personne. C’est anecdotique, mais je trouve que ça mérite d’être mentionné.

    La rencontre avec Tomas est dans la ligne droite de la relation de Béa avec cette ville. Hostile, tendue, difficile. D’ailleurs c’est le côté décalé de « la petite fille riche à papa qui ne connait pas la vie du commun des mortels » qui finalement va toucher tous ces personnages hostiles à sa venue. Et j’ai adoré le cumul de bétises de cette nana (tellement proche de la réalité de la vie finalement).

    Autant j’étais septique les premières pages face au statut de cette fille (oui les clichés ont la vie dure, mais sont tellement redondants dans les romances aussi), autant la curiosité de voir comment cette nana à côté de la plaque et qui cumule les âneries va pouvoir s’affirmer, s’imposer, se faire accepter, s’en sortir face à une ville totalement contre elle. La boude ultime qui finit par aider la ville, c’est aussi du déjà-vu. Mais c’est tellement drôle et bien amené que j’ai adoré.

    Une belle romance qui va plus loin que ça. C’est une romance avec une ville, son usine, son école. C’est un vrai bon moment amusant pour se détendre.

     

    Une belle journée à chacun.

    bises

    Kaya

     

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  • Célibataire À New York de Mélissa Senate

    Célibataire À New York de Mélissa Senate

     

    L’histoire : 

    Dure, dure, la vie d'une célibataire à New York. La mienne menace de virer carrément au désastre ! Voilà trois ans que je travaille à la Posh, une maison d'édition new-yorkaise, où je passe mes journées à travailler sur les biographies de pseudos-stars qui se croient tout permis. Ma vie sentimentale ? A presque trente ans, pas le moindre prince charmant en vue ! Enfin, il y a bien J-le-tombeur, accessoirement mon chef direct. Mais dès qu'il pointe son nez à moins de dix mètres de moi, je deviens rose-framboise ! Et je ne vous ai pas encore dit que ma famille, au lieu de compatir, a les yeux braqués sur ma chère cousine Dana, une peste invétérée qui, elle, s'apprête à vivre un vrai conte de fées en épousant (on se demande par quel miracle !), l'homme le plus beau et le plus riche de la terre. Au Plaza, s'il vous plaît. Pas facile d'être célibataire à New York ! Et encore, là ce n'est que le début de l'histoire.

     

    Mon avis : 

    Pour commencer, je précise que je n’ai pas vu le film et que je ne ferais aucun comparatif entre les deux médias.

    Ma chronique va être assez courte pour une fois. Ce livre est un bon divertissement. L’héroïne est attachante. Le côté « états d’âme » m’a plu. Mais je trouve que l’histoire manque de peps. Sûrement que c’est dû au rythme d’écriture. Pourtant ça se lit bien, hormis quelques longueurs. Le méli-mélo entre les personnages est une belle histoire d’amitié et d’amour. Elle montre qu’il faut toujours voir plus loin que l’apparence et l’image qu’on se fait des personnes.

     

    une belle semaine à chacun

    bises

    Kaya

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  • Mots d'un soir de décembre compliqué

    J'ai écris ces quelques mots un soir d'une journée où la contrariété m'a envahit, parce qu'on veut tellement toujours diriger ce que je dois faire et penser... 

    Décembre 2016

    La vie à l'envers ?

    Cloisonnée, enfermée dans ce qui n’est pas nous                                      

    Suivre la voie qu’on nous demande, ne pas suivre nos envies, notre instinct

    La création quelle qu’elle soit n’est pas une voie viable

    Etre sage, et se taire

    Se tenir en société, éviter les contacts

    Qui sommes-nous ? Incapables de s’ouvrir aux autres, incapables de s’affirmer face à ce qui est nous et non les attentes de ceux qui nous brident. Mal à l’aise avec les gens !

    Avancer, s’écrouler, se relever, piège après piège, remonter la pente

    S’apprendre, se redécouvrir,

    Apprendre à se foutre de la bienséance de ces esprits étroits

    Apprendre que vivre c’est aussi se protéger de ne pas se faire éteindre, de ne plus laisser les autres bafouer et écraser cette lumière en toi.

    Kaya Nifaflobe

     

    La vie à l'envers ? (poème court)

    Photo prise en Hollande par Kaya 22/04/2018

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  • arretes de flaner cupidon

    arrete de flaner cupidon

     

    L’histoire : 

    Cupidon n'a rien d'un tireur d'élite ! En même temps, Amélie s'en fiche, elle n'est pas pressée. Célibataire londonienne, elle s'éclate dans son job de créa, sort beaucoup et collectionne (oh, un peu...) les aventures. Pas de pression, quoi. L'amour arrive lorsqu'on ne l'attend pas, n'est-ce pas ? Enfin, ce n'est pas l'avis du staff de Fast Love, une boîte de speed dating qui compte bien faire concurrence au dieu de l'Amour... Et c'est Amélie qui doit monter sa campagne de pub. Bosser pour le supermarché amoureux ? L'horreur ! Parce que franchement, entre son collègue Duncan, son boss Josh-le-tyrannique et Jack - son ex qui a la bonne idée de débouler après trois ans de silence radio -, ce projet risque de ne pas être une partie de plaisir ! À moins que Cupidon ne reprenne (enfin !) du service ?  

    Mon avis : 

    Je dois avouer que le début de lecture a été un peu difficile. J’ai eu du mal à comprendre les enchaînements de paragraphes aux différentes polices. Changements de point de vue, changement de situations, changement d’époques ? Tout n’a pas été limpide pour moi. Mais c’est l’histoire de quelques pages, car le personnage d’Amélie est assez décapant dans son style. L’écriture en elle-même est de plus vraiment agréable à lire. Fluide, sans faute, sans trop de longueurs de phrases. Je me suis rapidement imprégné de l’histoire, amusée et curieuse des déboires de l’héroïne. Au final c’est une belle histoire romantique et rafraîchissante ! 

    Bon weekend à tous

    bises

    Kaya

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  •  

    Suis-moi, je te fuis ! de Louise Manet

    Suis-moi, je te fuis ! de Louise Manet

     

     

    L’histoire : 

    Comment j’ai rencontré Grégoire  ? C’est une histoire… fracassante. Disons que ma voiture a été la victime de la conduite très très aléatoire de sa fille. Et que, lorsque cette dernière m’a présenté son père pour qu’il m’indemnise, mon cœur a été victime d’un second carambolage. Car Grégoire est du genre marquant – et par «  marquant  », comprenez  : 1 m 90, yeux bleu-gris acier, cheveux poivre et sel, sourire à vendre sa mère. Alors, oui, il est un peu plus âgé que moi. Oui, il est à la tête d’un immense empire de joaillerie. Non, nous ne sommes définitivement pas du même monde. Sauf que plusieurs parties de mon anatomie n’en ont rien à faire. Et Grégoire non plus, d’ailleurs…  

    Mon avis : 

    Tout est drôle et vraiment bien construit. L’écriture de cette auteure m’a entrainée aussitôt dans les déboires « pas de chance » de l’héroïne Morgane. En même temps, elle est captivante par sa détermination, autant que son aveuglement, sans parler des films complètement à l’ouest qui se déroulent dans sa tête. Mais tout ça n’émergerait pas sans la plume de Louise Manet qui est vraiment décapante.

    Le livre est rythmé de variation de polices. Et contrairement à d’autres livres où il m’a été compliqué de comprendre, là c’est totalement judicieux. Ça donne un rythme non négligeable au récit et une compréhension de la personnalité de Morgane.

    Et le meilleur du meilleur c’est la déclinaison de l’historique « fée Morgane » en « fée plein de choses » que l’auteure décline à toutes les sauces, sous le joug de l’humour (ou dépit) de l’héroïne.

    Je ne me suis pas ennuyé. Même si ce livre est assez court par rapport à certaines de mes lectures, il n’y manque rien. A lire absolument pour un bon moment de fou rire et romance originale.  

    Passez un bon weekend ensoleillé

    bises

    Kaya

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  • Tome 1 : Toi. Moi. Et les étoiles (Tomes 1 et 2) de Nelly Weaver

    Toi. Moi. Et les étoiles (Tomes 1 et 2) de Nelly Weaver

    Tome 2 : Toi. Moi. Et les étoiles (Tomes 1 et 2) de Nelly Weaver

    Toi. Moi. Et les étoiles (Tomes 1 et 2) de Nelly Weaver

     

    L’histoire du Tome 1 :

    À 17 ans, Livie a tout quitté. Sa vie, sa famille, ses amis pour se construire une nouvelle vie. Elle n'a donné aucune explication à son geste et n'a laissé aucune adresse. 3 ans plus tard, quand elle croise un fantôme de son passé, ses angoisses ressurgissent. Alors qu'elle tente désespérément de ne pas rouvrir d'anciennes blessures, Ethan va s'y engouffrer et demandera des explications. Pourquoi la seule fille qu'il ait aimée l'a-t-elle abandonné de la sorte? Qu’a-t-elle tenté de fuir, et pourquoi ? Tant de questions restées sans réponses, qu’il compte bien percer à jour.

     

    Mon avis :

    Les personnages sont très attachants. Bien que l'histoire elle-même soit assez téléphonée (on s'attend tellement à tout ce qui se passe), mais j'avoue avoir aimé les personnages de Livie, Ethan et Greg.

    Mais l'écriture est une douleur lancinante. Non seulement c’est des phrases basique, sans tournure plus complexe que ‘je +verbe simple + complément à rallonge ‘, mais c'est bourré de fautes de vocables, de grammaires, de conjugaison et d’expression. La ponctuation est inexistante ou utilisée à mauvais escient. Plein d’expressions sont mal employées ou mal formulées. Sans parler des figures de styles telles l'anaphore, le pléonasme, le parallélisme, la répétition, l'hyperbole, la prétérition, qui à mon avis, ne sont pas du tout voulues car elles n’apportent vraiment rien au contenu. C’est même d’une lourdeur constante dans le récit qui agace. Il y a aussi un tas de petits « et » et « de » qui trainent partout, sans utilité ou qui reflètent un français parlé d’adolescent. Les phrases sont longues et bourrées d'adverbes inutiles ou qui alourdisse le texte. Aucune variété dans les expressions. Les mots sont simples, pas de richesses de vocabulaires, et donc très répétitifs. Quand un mot un peu plus "sophistiqué" est utilisé, il ne l'est pas du tout à bon escient. La limite entre dialogue et description est incompréhensible parfois. L'utilisation du "il" et "elle" ne revoit jamais à la bonne personne, car non-respect des règles de grammaires de bases. C'est dur de suivre le fil. Sans parler des histoires qui se répètent mots pour mots, des redondances de passages ou sentiments sans richesse de vocables ou poésies. C’est usant à lire. J’ai passé de nombreux passages sur la fin par dépit.

    En gros, je me suis perdue plus d’une fois dans le fil de l’histoire, et la répétition de nombreuses fois de certains passages m’a vraiment agacée. Sans parler d’erreurs de français qui sont inadmissibles dans un livre (comme l’accord du participe passé / infinitif, l’emploi des auxiliaires sans confusion entre ‘est’ et ‘ait’, la différence entre le verbe conjugué ou au participe passé et le nom associé ‘salue’ ‘salut’). C’est écrit comme un ado parle à l’arrache.

    Si vous ne voulez pas savoir la suite avant d’entamer le tome 2, ne lisez pas le « résumé » qui se trouve avant le chapitre 1 du tome 2. (C’est pour ça que je ne l’ai pas écrit comme habituellement dans le début de ma chronique). Encore une erreur de publication. Normalement un résumé à cet endroit pour un tome suivant raconte en quelques lignes l’histoire du tome précédent. Et là non ! C’est le 4ème de couverture, soit le résumé du tome 2 à lire, qui est mis. Donc t’as l’histoire avant d’avoir entamé le récit… Moi qui n’avais pas lu le 4ème de couverture exprès, ça m’a contrariée.

    Et la fin m’a achevée. Déjà que l’histoire est glauque, mais la fin est pire. Si vous aimez les histoires qui finissent bien, ne lisez pas ces livres. Si vous aimez le glauque, faites-vous plaisir. En cherchant j'ai découvert qu'il y a des tomes 3 et 4, mais je vais clairement m'arrêté là. Pour moi c'est trop glauque pour continuer comme ça. Si au moins l'écriture était correcte en niveau de français.

    Je suis vraiment déçue. Malgré le français limite, je m’étais forcée à continuer parce que les personnages sont vraiment intrigants et attachants. Pour le coup, la tournure et la fin du tome 2 m'ont dégoûtée.

     

    La couverture est superbe, le texte associé est beau. Voilà ce qui m’a fait craquer. Et j’en suis bien déçue.

      

    On ne peut pas tout aimer. janvier et février ont été riche en découvertes littéraires et coup de cœur. Mars et avril sont moins convaincants. C'est par vague, on dirait ! lol . Mais comme j'ai du retard dans mes chroniques coup de cœur entre autres, il y aura un peu de tout dans mes avis. 

     

    je vous souhaite une bonne journée et n'oubliez pas de partager votre avis également. 

    bises

    Kaya

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  • Nous deux à l’infini de Fleur Hana

    Nous deux à l’infini de Fleur Hana

     

    L’histoire :

    Elle est incapable d’aimer un autre homme que lui.

    Il est incapable d’aimer tout court.

    Lola aime Dante. C’est une vérité universelle depuis qu’elle a croisé son regard, treize ans plus tôt, alors qu’ils étaient encore adolescents et que Dante sortait avec sa grande sœur. Aujourd’hui, elle décide de tenter le tout pour le tout  : elle va le séduire, quitte à se faire passer pour une femme qu’elle n’est pas vraiment, une femme que Dante laissera entrer dans ses nuits.

    Dante n’aime que lui. C’est une vérité indiscutable depuis la trahison qui a fait voler sa vie rêvée en éclats. L’homme qu’il était a disparu  ; désormais, il enchaîne les coups d’un soir et est devenu ce que la vie a fait de lui  : un sale type. Mais, lorsque Lola déboule au milieu de la nuit, il lui ouvre, même s’ils ne se sont pas parlé depuis huit ans. Cette fille est toujours la gamine insupportable, capricieuse et envahissante de ses souvenirs, mais elle a ce truc indéfinissable qui le touche. Alors, quand elle lui demande de l’héberger, il accepte.

      

    Mon avis :

    J’ai découvert cette auteure grâce à Féechoco de notre bibliothèque cocon. Les personnages de cette romance New Adult sont complexes, intrigants et passionnés tout autant que passionnants. On découvre différentes facettes au fil de l’histoire. La face cachée et son vrai soi de la petite Lola est vraiment attachant. Et le caractère froid, brusque et détaché de Dante donne envie de lui foutre des baffes autant que de le consoler. On est un peu dans le stéréotype du BadBoy, mais pas tant que ça. Lola joue aussi ce rôle de BadGirl sous certains aspects de la façade qu’elle crée face à Dante. Et celui-ci n’est pas du tout un mauvais gars au fond. La souffrance fait parfois se retrancher dans un monde aseptisé d’amour pour se protéger, ça ne fait pas nous des mauvaises personnes pour autant.

    Ces complexités entre leur vrai être et les façades qu’ils présentent donnent le ton de l’histoire. Celle-ci n’est pas extravagante en soi. Une histoire d’amour telle une histoire de vie.

    L’écriture est assez simple et fluide, l’histoire se lit vraiment bien. J’ai apprécié l’alternance des points de vue entre les deux protagonistes, pour mieux comprendre ce qui trotte dans leur tête, et toute la complexité de chaque personnage.

    Par contre le côté érotique, qui en soi ne me gêne pas, cette fois m’a vraiment mis mal à l’aise. Il faut aimer le genre assez brusque, limite brutal. Une brutalité des actes sans sentiment qui est répétitive. La description est aseptisée aussi des ressentis de Lola dans certaines scènes et ça en donne encore plus de froideur. D’ailleurs, l’aveuglement de son amour pour lui est un point qui m’a passablement énervé. Elle débarque pour s’imposer, joue les filles faciles et non prudes alors qu’elle est le contraire, pour donner une impression de dominante. Hors elle ne s’impose jamais face à lui, il faudra plus des 2/3 du tiers pour qu’elle arrête de se faire marcher dessus. Le côté soumise et je fais tout pour lui sans aucun retour, en en perdant ma propre personnalité est quelque chose qui m’est assez insupportable. Je comprends qu’on puisse aimer au point de tout faire pour une personne. Mais du moment où il y a clairement une indifférence totale en face, voire une pure manipulation égocentrique, cela m’insupporte.

    Ce n’est pas encore trop extrême dans ce livre. Et j’ai apprécié le changement de ton et d’attitude de Lola sur la fin. Et puis un livre qui finit bien, c’est ce que j’aime. Par contre dans celui dont je vous parle après, on en est loin.

    J'ai aimé ce livre, même si je n'ai pas été transporté. Et je compte lire Follow me 1 et 2 qu'a beaucoup aimé Féechoco.

     

    N'hésitez pas à partager vos avis en commentaires.

    Je vous souhaite une belle journée. 

    Kaya

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